Journée Internationale de la Femme

Comme tout les 8 Mars, le monde célèbre la femme. Certains et certaines considèrent que c’est une fête commémorative, d’autres préfèrent voir cette fête comme une journée de réflexion sur le notre chemin : comment avance-t-on ? Ou voulons-nous allons? D’où est-ce qu’on vient ,

Alors en ce jour, on a cherché à s’intéressre sur ce qu’on reçoit chaque année, pour visualiser davantage les situations de marginalisation, de subordination, de violence, de vulnérabilité et d’inuste auxquelles sont encore confrontées de nombreuses femmes. Ces situations nous ont conduit à partager avec le monde les combats et luttes des femmes qui augmentent. L’unité est essentielle : “si nos tocan a una, nos tocan a todas” (s’ils touchent à l’une d’entre nous, ils touchent à nous toutes)

Nous savons qu’en matière de droits humains, les droits des femmes ont progressé. Au fil des années, nous voyons bien que les femmes constituent bien la moitié de l’humanité, mais qu’elles sont historiquement menacées par la discrimination, la violence, le refus du droit de propriété et n’ont pas la reconnaissane des droits sexuels et reproductifs. Pour cette raison, nous exigeons des enquêtes spécifiques et une protection spéciale. Et les droits de communication ne doivent pas être loin derrière ..

Les femmes ont le droit à la communication. Mais les médias ont toujours été contrôlé par les hommes. Les femmes aparaissent généralement comme femmes objets, et non sujets. Pour s’approprier ces espaces, elles doivent commencer par devenir actives, les technologies ne sont pas exclusives aux hommes. Les femmes ont également les compétences !

Ainsi, les médias communautaires son des espaces essentiels pour exercer ce droit. Les médias “commerciaux” servent des intérêts économiques, alors que les médias communautaires servent les intérêts de la communautés, s’intéressent à eux. Ils sont participatifs et horizontaux, ce qui leur permet d’être ouverts à tous, à tous les secteurs de la communauté.

Plusieurs médias communautaires ont reconnus et identifié que la participation des hommes et des femmes était inégale. Ils vont mis en avant la nécessité de rééquiliber cela. La campagne Nuestras Voces, Nuestras Ondas: ¡Mujeres presentes en las Radios Comunitarias!, vise à répondre à ce besoin et à défendre le droit à la communication des femmes paysans, indigènes et garifunas qui luttent pour l’autonomie, la justice sociale et la dignité. Venez, intéressez vous et soutenez la campagne pour la défense du droit de communication des femmes.

Pour connaître la campagne, cliquez ici !